A partir de certaines natures mortes très connues de l’histoire de l’art (Chardin, Zurbaran, etc), mon regard se rapproche de certains détails, de ce qui se passe « entre les choses », de l’espace qui respire entre les masses, pour trouver encore cette limite entre figuration et abstraction, entre objet représenté et matière utilisée, entre ce que l’on veut dire consciemment qu’est l’objet représenté, et ce que l’on exprime inconsciemment dans le geste relâché et libéré.
Cette dualité se perçoit d’autant plus que les formats « agrandissent des détails », comme y entrer…